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FILMS QUÉBÉCOIS À VENIR...
27 août 2012
par

Karakara


(31 août)


 


Le réalisateur de Kenny et de Kamataki signe un nouveau film à saveur japonaise, tourné celui-ci sur l’île d’Okinawa. Karakara raconte l’histoire d’un professeur à la retraite (Gabriel Arcand) qui se retrouve en voyage avec une femme japonaise de 40 ans qui fuit un mari violent.


Présenté mardi en compétition mondiale au FFM, Karakara marque le retour de Gagnon au festival montréalais, où il s’est déjà illustré quelques fois dans le passé (Grand Prix des Amériques en 1987 avec Kenny, Prix de la mise en scène en 2005 avec Kamataki). Réussira-t-il à s’inscrire de nouveau au palmarès cette année ?


 


La vallée des larmes


(31 août)


 


Dans ce film tourné en partie au Liban, Nathalie Coupal joue une éditrice montréalaise qui part au Liban pour enquêter sur la disparition d’un Libanais avec lequel elle s’était liée d’amitié.


Second long métrage de la réalisatrice montréalaise d’origine libanaise Maryanne Zéhil (après De ma fenêtre sans maison), La vallée des larmes a été présenté en première mondiale au Festival international du film de Shanghai.


 


L’affaire Dumont


(14 septembre)


 


L’un des films québécois les plus attendus de l’automne, voire de l’année, ce drame judiciaire de Podz (Les 7 Jours du Talion, 10 et 1/2, 19/2) revient sur le long combat judiciaire de Michel Dumont, cet homme qui avait été accusé à tort dans une histoire d’agression sexuelle.


L’histoire remonte à 1990. Livreur de dépanneur séparé et père de deux enfants, Michel Dumont (incarné par un Marc-André Grondin méconnaissable) s’était retrouvé accusé, jugé puis condamné pour une agression sexuelle qu’il a toujours nié avoir commise. Dumont avait finalement été blanchi de ces accusations en 2001, après s’être battu en cour avec son amoureuse (Marilyn Castonguay) pendant plusieurs années et avoir purgé trois ans de prison.


À noter que L’Affaire Dumont sera présenté en ouverture du Festival de cinéma de la Ville de Québec, la veille de sa sortie en salle, soit le 13 septembre


 


Après la neige


(21 septembre)


 


Le producteur Paul Barbeau (Roméo Onze) signe un premier long métrage à titre de réalisateur, un film dans lequel il joue également le rôle principal. Le film a été présenté au Festival du film de Shanghai.


 


Inch’Allah


(28 septembre)


 


Ce drame de la jeune et talentueuse Anaïs Barbeau-Lavalette (Le Ring) suivra-t-il les traces d’Incendies et Monsieur Lazhar ? Produit par la boîte micro_scope (le duo de producteurs derrière les récents films de Denis Villeneuve et Philippe Falardeau), Inch’Allah connaîtra sa première mondiale au début septembre au prestigieux Festival du film de Toronto, avant de clôturer la seconde édition du Festival de cinéma de la Ville de Québec, le 22 septembre.


Dans son rôle le plus important à ce jour, Évelyne Brochu (Café de Flore) se glisse dans la peau d’une jeune obstétricienne québécoise travaillant à la clinique de fortune d’un camp de réfugiés palestiniens, en Cisjordanie. Entre les checkpoints et le Mur de séparation, elle découvrira la dure réalité de la guerre et de ceux qui la vivent au quotidien.


 


Mars et Avril


(12 octobre)


 


L’aboutissement de ce projet fou issu de la tête du jeune cinéaste Martin Villeneuve (frère de Denis) tient pratiquement du miracle. Tourné il y a plus de trois ans, ce film de science-fiction campé dans un Montréal futuriste a dû traverser plusieurs obstacles, dont une année de refinancement, avant de se rendre enfin à bon port.


Adapté des deux photos-romans du même titre publiés par Martin Villeneuve il y a quelques années, Mars et Avril raconte l’histoire d’un populaire musicien septuagénaire (Jacques Languirand) qui découvre l’amour pour la première fois dans les bras de la jeune Avril (Caroline Dhavernas).


 


LA SUITE: http://www.journaldequebec.com/2012/08/22/une-cuvee-automnale-pleine-de-promesses